Dernière mise à jour :
01/12/2013
Présentation
Montages très simples qui permettent d'allumer ou d'éteindre une lampe
dès la
tombée de la nuit.
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Schéma 004 : montage avec triac, extinction à la tombée de la nuit;
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Schéma 004b : montage avec thyristor, allumage à la tombée de la nuit.
Voir aussi la page
Interrupteur
crépusculaire 002, pour un montage légèrement
plus élaboré.
Schéma 004 - version avec triac
Avec ce montage, la lampe L1 s'allume d'autant plus fort que la photorésistance LDR1 est éclairée.
Il s'agit d'un schéma quasiment identique à celui
d'un
gradateur
simple,
mais avec une LDR (cellule photorésistante) à
la place du potentiomètre qui permet le réglage de
luminosité. Plus la valeur résistive de la LDR diminue (réception de
plus de lumière) et plus le condensateur C1 se charge rapidement et
conduit à amorcer plus tôt le triac à partir de chaque passage par zéro
de l'onde secteur. Ce circuit peut être utilisé pour isoler la partie
commande de la partie puissance d'un
jeux de lumière (LED placée en face de la LDR, qui s'allume au rythme d'un séquenceur ou de la musique).
Schéma 004b - version avec thyristor
Tiens c'est marrant, on ne voit pas souvent de thyristors dans les
montages. Pourtant, il s'agit d'un composant qui a fait parler de lui,
il n'y a pas si longtemps. Peut-être aussi faut-il se pencher sur
les réalisations de forte puissance, pour voir que ce composant
est encore utilisé à la place de triacs (deux thyristors
montés tête-bêche). Le dernier que j'ai vu faisait
entre cinq et dix fois la taille d'une petite veilleuse. Mais si on
regarde dans les modèles de faible puissance, on en trouve des
plus petits (boitier TO92 en plastique par exemple). Ce deuxième schéma permet l'allumage automatique d'une petite ampoule
à la tombée de la nuit, et un redressement double
alternance est mis en oeuvre pour éviter un scintillement
gênant.
Le potentiomètre RV1 sert au réglage de
sensibilité, il forme avec la LDR un pont diviseur
résistif. Notez l'absence de diac, comme ceux que l'on trouve
très souvent dans les montages avec triac. L'ampoule doit
être un modèle de 25 W au plus, et le thyristor peut
être un modèle quelconque du moment qu'il peut commuter
0,5 A à 1 A, et que sa tension de service est de 400 V au moins.
Choix de la cellule photorésistante
- Pour le premier montage à triac, le choix de la LDR (Light
Dependant Resistor, résistance
dépendant de la lumière) s'est porté ici sur un
modèle LDR03 ou LDR05, mais d'autres modèles, un peu plus
ou un peu moins sensibles, peuvent tout à fait convenir.
Pour
être franc, je n'en n'ai pas essayé d'autres que les deux
précitées, mais je ne me fais pas trop
d'inquiétudes à ce sujet.
- Pour le second montage à thyristor, la LDR doit être
capable de supporter une tension de 350V. Si vous en choisissez une
dont la tension max est inférieure, inserez une
résistance de 470K entre le potentiumètre RV1 et la LDR,
de façon à limiter la tension crête si le
potentiomètre est en position minimale.
Deux types de LDR connues
Précautions d'usage
- Premièrement, ce montage est relié au secteur. Donc...
bla bla bla.
- Deuxièmement, faites en sorte que la LDR ne recoive pas la
lumière de la lampe. Sinon...